24 Nov
24Nov

Un jour, début de nuitée, je t’ai rencontré sans que tu ne le saches ! 

Je ne voulais m’arrêter, il était tard, mais sans le savoir, tu m’as retenu. 

Tu m’as rappelé, en déversant ton Déversoir, et la mémoire m’est revenue, toute blanche, toute nue ! 

Arthur, tel un roi, tu as déboulé, comme Monsieur Teboul, déboule sur scène, dans ma tête. Tes paroles ont débloqué une partie de mon esprit entortillé. 

Feu ! dirais-je, et le Chat-terton, s’est mis à miauler en moi. Et tu ne le sais toujours pas ! Mais qu’à cela ne tienne, une fois de l’autre côté du miroir, nous savons ! 

Merci, ainsi, de ton acte innocent, d’avoir coupé ma folle course du temps, lui-même effréné qui se sait n’exister pas.

 
Merci !


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